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Bourse : effet janvier et opportunités d’investissement pour 2025

Article publié le 17/01/2025

En Bourse, le début d’année rime avec nouvelles opportunités. Attention toutefois à l’effet janvier, qui pourrait vous induire en erreur. On vous explique tout.

Est-ce que l’année boursière sera aussi bonne qu’en 2024 pour les actions américaines ? Faut-il revenir sur le CAC 40 et les petites valeurs ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles nous allons répondre aujourd’hui.

Connaissez-vous l’effet janvier ?

Historiquement, les actions affichent une très bonne performance en janvier, en partie tirée par le rebond des valeurs qui ont le plus souffert au cours de l’année précédente. Comment expliquer cela ? C’est en début d’année que les gérants institutionnels, suivis par les particuliers, prennent de nouvelles positions sur le marché. Ils ont notamment tendance à acheter des valeurs ou des secteurs qui sont perçus comme décotés, dans l’espoir d’un rattrapage de performance. Si l’effet janvier se produit de nouveau, cela pourrait, par exemple, profiter au secteur des biotechnologies ou encore aux petites valeurs (les small caps) qui ont été plutôt chahutés ces derniers mois.

L’effet janvier a bien été documenté par la recherche scientifique depuis le milieu des années 1970. Attention, toutefois, à ne pas tirer de conclusions trop hâtives. Les gagnants boursiers du mois de janvier ne sont pas toujours ceux de l’année.

Deux marchés incontournables

Sur 2025, deux segments devraient tirer leur épingle du jeu, selon nous :

Les actions américaines, en particulier celles du numérique. Trois facteurs vont continuer de soutenir leur hausse : les rachats d’actions par les entreprises qui contribuent à accroître la valeur en Bourse et ont dépassé 1.000 milliards de dollars en 2024 ; la solidité financière des entreprises américaines, qui devraient dégager une marge nette proche de leur point haut à 10,5% ; et la bonne santé de l’économie américaine, avec une croissance qui devrait être supérieure à 2% cette année.

Parmi ces entreprises, il convient de citer Nvidia, qui possède quasiment un monopole dans la production de puces pour l’intelligence artificielle. Elle affiche une santé financière incroyable : sa trésorerie disponible a quasiment été multipliée par quinze en moins de deux ans. Peu d’entreprises peuvent se vanter d’un tel résultat. Nous continuons de penser que ce sera un acteur essentiel qui va tirer la performance de la Bourse américaine en 2025.

Les entreprises des énergies renouvelables pourraient réserver de bonnes surprises. C’est contrariant, car beaucoup d’analystes s’attendent à ce qu’elles soient pénalisées par une présidence Trump. En réalité, elles bénéficieront d’une demande croissante de la part des acteurs de la tech’ et de l’intelligence artificielle qui ont besoin à tout prix d’une énergie abondante à bas coût. Amazon et Google sont parmi les principaux acheteurs directs d’énergie renouvelable aux États-Unis, par exemple. Là-bas, 95% des projets d’infrastructure énergétique en attente d’approbation sont solaires ou éoliens, 3% fonctionnent au gaz naturel, et 0,4% est nucléaire. Cela va peut-être donner quelques idées à l’Europe…

Pour investir sur ces deux segments, un épargnant a plusieurs choix à sa disposition : les fonds actions, qu’il peut placer dans son assurance-vie par exemple, afin de bénéficier des avantages fiscaux liés, ou les ETFs qui permettent de répliquer la performance d’un indice. Attention, tous les ETFs ne se valent pas. Ceux positionnés sur les énergies renouvelables ont affiché ces dernières années des performances médiocres et souvent inférieures à celles des fonds actions. Il convient donc de comparer les offres disponibles.

Et la France dans tout ça ?

La France a connu une mauvaise performance boursière en 2024. L’écart est de 10% par rapport au Stoxx Europe 600, par exemple. Malgré les niveaux de valorisation attrayants du CAC 40 (ratio cours sur bénéfice qui se situe seulement entre 12-13), nous doutons qu’un rattrapage puisse avoir lieu dans les semaines, voire les mois à venir. Le CAC 40 est certes fortement internationalisé, avec des entreprises comme Schneider, Sanofi et Hermès, qui réalisent plus de 75% de leurs activités en dehors de l’Europe. Mais il n’est clairement pas immunisé face au risque politique français, comme nous avons pu le constater depuis mi-juillet.

Nous préférons rester prudents, et rester à l’écart, à part si on opte pour des stratégies de « stock picking » (achat d’une valeur spécifique). Cela vaut également pour les petites et les moyennes valeurs qui ont encore plus répercuté les mauvaises nouvelles sur le front politique que le CAC 40. Actuellement, il n’y a que deux manières d’appréhender l’univers des petites entreprises :

  • Stratégie de stock picking en misant sur des sociétés très présentes aux États-Unis et qui devraient bénéficier des mesures économiques de Trump. Par exemple : Interparfum qui réalise 40% de son chiffre d’affaires outre-Atlantique, ou encore Virbac qui est spécialisé dans la nourriture pour les animaux de compagnie.
  • Jouer les opérations financières, comme l’an dernier. Il y en avait eu plus d’une trentaine à la Bourse de Paris, essentiellement des sorties de cotation. Cela concerne tous les secteurs d’activité. Il risque d’y en avoir beaucoup dans l’industrie, notamment dans le compartiment des équipementiers automobiles. Il y a beaucoup trop d’acteurs côtés sur ce créneau, qui souffre de la crise automobile. Pour ainsi dire, étant donné le peu de dynamisme sur ce compartiment de marché, toutes les entreprises ayant une capitalisation inférieure à un milliard d’euros sont susceptibles de faire l’objet d’une opération financière. Pour l’épargnant, c’est plutôt une belle opération. En moyenne, la prime octroyée était d’au moins 30% l’an passé. On peut considérer que ça restera à peu près à ce niveau en 2025.

L’essentiel à retenir :

  • Les actions des valeurs de croissance sont incontournables pour avoir du rendement
  • Diversifier avec un peu d’obligataire à haut rendement peut être un pari gagnant
  • Pourquoi ne pas miser sur le private equity, à condition d’accepter qu’une partie de son épargne soit bloquée

Cet article a été rédigé pour

Terre d’Epargne, par Pictet Asset Management

Spécialiste indépendant de premier plan des services d’investissement

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